En janvier 2024, 14 organisations professionnelles ont cosigné avec ARVIVA - Arts vivants, Arts durables 𝘂𝗻 𝗽𝗹𝗮𝗻 𝗱'𝗮𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗰𝗼𝗺𝗺𝘂𝗻 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹𝗮 𝘁𝗿𝗮𝗻𝘀𝗳𝗼𝗿𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗲́𝗰𝗼𝗹𝗼𝗴𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗱𝘂 𝘀𝗽𝗲𝗰𝘁𝗮𝗰𝗹𝗲 𝘃𝗶𝘃𝗮𝗻𝘁. Cette feuille de route a entrainé des temps de concertation entre les syndicats, fédérations et réseaux adhérents à ARVIVA pour concrétiser ces engagements en faveur de la mutation du secteur. Plusieurs groupes de travail se sont réunis régulièrement de septembre 2024 à mars 2025 pour concevoir des outils, dont le clausier écologique regroupant des propositions de clauses juridiques incitatives avec son guide d'accompagnement

En janvier 2024, 14 organisations professionnelles ont cosigné avec ARVIVA - Arts vivants, Arts durables un plan d'action commun pour la transformation écologique du spectacle vivant.

Cette feuille de route a entrainé des temps de concertation entre les syndicats, fédérations et réseaux adhérents à ARVIVA pour concrétiser ces engagements en faveur de la mutation du secteur. Plusieurs groupes de travail se sont réunis régulièrement de septembre 2024 à mars 2025 pour concevoir des outils dont cette étude et vous accompagner dans la transformation de vos pratiques.

Lors de la refonte de ses aides financières, le Centre national de la musique (CNM) s’est attaché à définir, en concertation avec ses partenaires tant publics que professionnels, des critères de transformation de la filière vers plus de
responsabilité sociétale, notamment en matière de transition écologique, de responsabilité sociale et d’égal accès des femmes et des hommes aux métiers de la musique et des variétés. Les nouveaux critères proposés dans son règlement général des aides ont été adoptés par le Conseil d’administration du 16 décembre 2024 et entrés en vigueur le 1er janvier 2025.

Les critères qui ont été intégrés par le CNM dans la refonte des ses programmes d’aides ne visent nullement à se substituer aux démarches volontaires des entreprises et organisations. Ils visent en revanche à accroître la sensibilisation et l’engagement des professionnelles et professionnels de la filière, notamment sur les enjeux sociaux et environnementaux en rappelant les obligations qui leur sont déjà imposées et en les guidant vers des ressources existantes pour alimenter leur réflexion sur ces sujets cruciaux en vue de transformations durables.

Dans cette optique, le CNM met à disposition des usagères et usagers un document présentant diverses ressources (informations, outils de sensibilisation, formations, études, calculateurs, sources d’inspiration…) leur permettant d'accompagner et d'amplifier ces transformations.

Ressources et restitutions du 1er forum des initiatives responsables de la Culture en Région Sud (FOCUS)

Contraintes économiques, évolutions technologiques, pandémie mondiale… Les structures culturelles doivent faire face à des enjeux sociaux et environnementaux de plus en plus prégnants et répondre à de nouvelles exigences de leurs tutelles, partenaires ou publics. Les actrices et acteurs du secteur ont largement démontré leurs capacités d’adaptation, mais dans ce contexte d’accélération et d’urgence, ce sont désormais les modèles qui doivent être modifiés en profondeur.

Le COFEES vous propose d’explorer, dans ce premier Forum des initiatives responsables de la Culture en région Sud (FOCUS), la manière dont les projets culturels évoluent pour intégrer les multiples défis qu’ils rencontrent. Gouvernance, conduite du changement, financements, coopérations, le programme ne restreint pas la réflexion au seul angle des flux monétaires, mais l’aborde de façon globale. Dans cette volonté de collaboration et de partage chère au COFEES, et grâce au concours d’un large panel de parties prenantes, nous vous invitons à repenser ensemble nos modèles.

Cette journée a réuni organisations culturelles, personnalités académiques, collectivités et institutions autour d’une programmation exigeante et participative, invitant au débat entre différents protagonistes du champ de la culture.

Pour la deuxième année consécutive, le baromètre de l’OPC s’intéresse à la transition écologique. Comment ce registre d’action varie-t-il selon les niveaux de collectivités territoriales ? Quelle place occupe le critère de l’impact écologique dans l’attribution des financements ? L’analyse d’Hervé Fournier insiste sur l’importance des compétences des personnels culturels et la nécessité de développer une culture de la coopération, en interne et avec les opérateurs, pour soutenir la prise en charge de la problématique écologique au quotidien.

Initié par le ministère de la Culture et l’Institut pour le financement du cinéma et des industries culturelles (IFCIC), le prix IFCIC-Entreprendre dans la Culture récompense, une fois par an, cinq entreprises ou associations ayant développé, dans le secteur culturel, un modèle économique ou une forme d’organisation remarquable, innovante, originale, responsable et/ou durable. Son ambition est de mettre en valeur les démarches entrepreneuriales et créatives d’acteurs du secteur culturel afin de soutenir et d’amplifier ces initiatives.

A l’occasion du MaMA, 5 lauréats de ce prix dans le secteur de la musique viendront présenter leur activité et témoigner ainsi de la pertinence et de la vitalité des initiatives soutenues au regard des enjeux culturels actuels et à venir.

Le Collectif des festivals vient de publier un guide ressource sur la "redirection socio-écologique" des structures culturelles, dans lequel vous retrouverez :
🗺️ un état des lieux
🧰 des outils pratiques
💬 et des récits, qui racontent les blocages dans lesquels les acteurs du spectacle vivant sont souvent pris, en raison notamment de la culture de la croissance de notre société et de biais cognitifs, et comment la transition sociale et écologique réinterroge les organisations et les manières de faire. Elle invite notamment à la coopération, à plus de transversalité dans les équipes et de mutualisation au sein de réseaux professionnels, et elle est fortement liée à l'amélioration des conditions de travail.

Vous êtes un artiste, un professionnel du secteur de la création ? Vous vous demandez comment tenir compte des enjeux écologiques dans vos activités ? Le Cadre d’action et de coopération pour la transformation écologique (CACTÉ), conçu par le ministère de la Culture, est un outil pensé pour vous accompagner dans cette démarche. Il est obligatoire pour les structures ayant signé un document de contractualisation de trois ans ou plus mais est également accessible à toutes celles du secteur de la création artistique.

En 2024, l’association ORÉE publie, en partenariat avec l’ADEME, un second état des lieux de l’Écologie Industrielle et Territoriale en France. Il fait suite à l’édition d’une précédente version parue en 2020. Il s’agit de bénéficier d’une vision globale des modes de fonctionnement des démarches d’EIT sur le territoire français en matière de gouvernance, de modèle économique et de résultats liés à ces projets et de formuler des recommandations pour développer l’EIT en France.

Une enquête réalisée par Arsud, en partenariat avec le groupe de travail régional Zéro déchet culturel initié par la DRAC Provence-Alpes-Côte d’Azur et la Région Sud

En interrogeant directement les acteurs culturels,
cette enquête couvre un champ inédit d’interrogations sur le poids des activités culturelles en termes de besoins en matériaux et équipements, et sur les pratiques d’acquisition-gestion-circularisation de ces ressources.
Les résultats permettent de dresser un premier état des lieux dans les territoires et les différents secteurs culturels sur des pratiques éco-responsables déjà mises en œuvre
et des leviers pour améliorer la circularisation des ressources.

La décarbonation du secteur culturel est souvent l’un des aspects prioritaires identifié par les collectivités pour apporter une réponse du secteur culturel à l’urgence écologique. Après une présentation générale des grands axes de l’écologisation des politiques culturelles, Cyril Delfosse aborde plus spécifiquement l’intérêt mais aussi les limites de la prise en compte de la décarbonation dans les politiques publiques et notamment culturelles. La direction de la culture du conseil départemental de la Gironde vient enfin illustrer ces propos en présentant la politique croisée culture / environnement de leur collectivité, avec un zoom sur l’axe « éco-responsabilité »..

Le programme Chrysalide propose une approche holistique et modélisable inspirée des concepts de la stratégie RSE/RSO, de la maîtrise d’usage, et de l’intégration écosystémique. S’appuyant sur un outil de diagnostic générique et adapté, fondé sur la notation (scoring) et conduit sur un échantillonnage diversifié et représentatif des différentes natures d’entités culturelles, il propose l’élaboration de stratégies de transition culturelle et leur démarche évaluative. Ceci dans une perspective de réplicabilité sur un maximum de types d’établissements et de strates de collectivités. Le programme Chrysalide permettra aux établissements culturels de s’engager dans une stratégie de responsabilité sociétale axée sur la durabilité et personnalisée aux besoins des équipements et événements.

Cet épisode du podcast du LUCAS aborde la question de la place des arts et de la culture dans la transition des villes et des territoires. Cet épisode fait écho au livre « Pour une culture des transitions » de Raphaël Besson, publié aux éditions LUCAS.

Dans ce podcast, Raphaël Besson interroge une série d'acteurs qui dépeignent la manière dont ils appréhendent une culture des transitions dans leur réflexion et dans leur pratique.
Témoignages de Magali Pinon-Leconte (ministère de la transition écologique et de la transition des territoires), Hélène Peskine (Plan urbanisme construction architecture), François-Laurent Touzain (Agence 360), Laurent Petit (ANPU), Agathe Ottavi (Cuesta), Christine Leconte (Conseil national de l’ordre des architectes), Laurent Chicoineau (Quai des Savoirs), Jérémie Choukroun (DRAC PACA) et la DRAC Auvergne Rhône Alpes.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.