Édité par l’Agence culturelle Grand Est, L’Essentiel de la LED permet d’appréhender au mieux la transition technologique des éclairages scéniques. Il ne s’agit pas seulement de changer des projecteurs mais bel et bien de repenser l’ensemble de la chaine de la lumière artificielle et de s’accorder avec les nouvelles possibilités de création. Cette transition modifiera aussi profondément le fonctionnement des équipes techniques : de nouvelles compétences seront à acquérir. Pour la rédaction de ce vaste sujet l’Agence a fait appel à l’expertise avérée de Nicolas Fandard.

En complément, vous pouvez télécharger le Focus Préparer la transition vers la technologie LED, qui est enrichi de témoignages et retours d’expérience.

Après plus d'une année de recherche et de terrain le travail des sociologues de Sociotopie est enfin disponible sous la forme d'un livrable passionnant de 130 pages (hors annexes).
Les 𝟏𝟒 𝟎𝟎𝟎 𝐫𝐞́𝐩𝐨𝐧𝐬𝐞𝐬 𝐚𝐧𝐚𝐥𝐲𝐬𝐞́𝐞𝐬 et les 𝟏𝟓𝟎 𝐞𝐧𝐭𝐫𝐞𝐭𝐢𝐞𝐧𝐬 𝐫𝐞́𝐚𝐥𝐢𝐬𝐞́𝐬 sur les festivals via la méthode mixte employée permettent de tirer de nombreuses données et interprétations : chiffres et tendances détaillées sur chacun des modes de déplacements, pratiques et ressentis propres à chaque mode, lien de corrélation et/ou causalité entre différents facteurs (âge, genre, contexte géographique, type d’hébergement, habitudes et sensibilités…).
Ces résultats vont nourrir les réflexions des groupes de travail constitués avec les 𝘧𝘦𝘴𝘵𝘪𝘷𝘢𝘭𝘴 𝘦𝘯 𝘮𝘰𝘶𝘷𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 visant à lancer des expérimentations jusqu'en 2025. L'objectif : réduire l'usage des modes de déplacement les plus impactant et développer les pratiques de mobilités actives et partagées !
Retrouver l'enquête et quelques uns des éléments qui en ressortent dans cet article

Covoiturage.beta.gouv.fr est développé sous la forme d'une Startup d'État et porté par le Ministère de la Transition écologique, chargé des Transports.

Il offre plusieurs services :

*Le Registre de preuve de covoiturage se positionne comme tiers de confiance entre les opérateurs privés de covoiturage et les collectivités. L’objectif : mettre en place des outils pour vérifier que les trajets ont bien été réalisés et rassurer les collectivités qui proposent des incitations financières.
Les décrets de la Loi d’orientation des mobilités (LOM) offrent aux autorités organisatrices de la mobilité (AOM) la possibilité de distribuer directement ou indirectement des incitations financières aux covoitureurs pour encourager la pratique du covoiturage au quotidien. Le Registre de preuve de covoiturage a été créé afin de faciliter la distribution de ces incitations, notamment financières, à travers une certification des trajets, à l’aide de classes de preuve de covoiturage.

*Statistiques en open data
Chaque mois, les jeux de données "bruts" issus du Registre de preuve de covoiturage sont publiés en open data sur data.gouv. Consultables en libre accès, ils permettent à n'importe quel usager d'analyser, en appliquant les filtres utiles, les dynamiques à différentes échelles.

Pour aller plus loin, consulter le site de l'observatoire national du covoiturage via le lien url ci-dessus.
Cet observatoire permet de suivre l’évolution des pratiques du covoiturage courte-distance en France et d'évaluer l'impact des mesures mises en œuvre par l’Etat, les collectivités et les entreprises afin d’adapter de façon agile leurs politiques publiques.

Ce livre blanc a été conçu principalement à partir de la table ronde « Urgence écologique : la transition de la culture et la culture de la transition », organisée le 13 juillet 2023 par le Crédit Coopératif dans le cadre de la 77e édition du Festival d’Avignon, dont la Fondation Crédit Coopératif est mécène principal.



Il est issu d’un échange partagé avec Solweig Barbier, Pierre Gendronneau, David Irle, Philippe Luciat-Labry et Nicolas Marc. Il revient sur les leviers à actionner en priorité et les solutions déjà adoptées .La banque explicite son rôle dans cette transition écologique..

Quand on sait que 80% de l'impact carbone d'un événement est lié au transport des personnes et du matériel, on comprend vite l'enjeu !Qu'est-il possible de faire aujourd'hui pour réduire les émissions carbone liées au transport lors de son événement ?On a été posé cette question (et d'autres !) à Myriam Laissy, fondatrice de Regency Limo Coach. En 25 ans de transport événementiel, elle a transporté plus d'un million de participants à travers le monde .Et vient d'obtenir sa certification ISO 20121 !Une démarche responsable qu'elle a entamé avec son équipe depuis quelques années et qui a mené à la rédaction du très complet livre blanc (https://livreblanc.regencylimo.coach/) "Transport événementiel de personnes vers une mobilité plus respectueuse". Dans cet épisode, elle s'est livrée sans filtre et sans langue de bois sur : son parcours et sa posture d'entrepreneuse dans une milieu plutôt masculin. l'état d'avancement de l'offre de transport à faible émission et son évolution les contraintes fortes qui ralentissent encore une transformation nécessaire les leviers d'action pour une démarche RSE global dans le secteur du transport événementiel les bonnes pratiques à intégrer en tant qu'organisateur. Vous saurez désormais ce que vous pourrez faire pour limiter l'impact carbone de votre prochain événement, tout en ayant conscience de la réalité du terrain

Le projet Déclic Musiques Actuelles est porté par le Syndicat des musiques actuelles (SMA) et la Fédération des lieux de musiques actuelles (FEDELIMA). Il réunit des salles de concert, des festivals, des producteurs de tournées et des centres de formation autour d’un objectif commun : réduire l'empreinte environnementale de la filière.

Cette opération est soutenue par l’État dans le cadre des « alternatives vertes de la culture » portées par France Relance.
Lire l'intégralité de l'interview de Aurélie Hannedouche, directrice du SMA

Cycle des Hautes Etudes de la Culture
Session 22-23 : "Les temps de la culture"
Synthèse du Rapport du Groupe 7


Afin de repenser le temps des publics dans les rythmes de programmation, le rapport s’appuie sur plusieurs alternatives et pistes d’action.

- Faire des institutions culturelles un prolongement de l’espace public, en cherchant à gommer les frontières symboliques du dedans et du dehors, du temps culturel et du temps du public, en diversifiant les activités et au sein des équipements, et en construisant la programmation comme élément d’une expérience globale.

- Optimiser les temps des publics et faciliter la sortie culturelle (horaires adaptés, facilitation de la réservation, activités hors les murs).

- Améliorer la lisibilité de l’offre culturelle sur une année, l’inscrire dans le contexte d’un territoire et améliorer les moyens pour les publics d’inclure la pratique culturelle dans leurs emplois du temps.

- Décélérer l’offre programmatique en réduisant le nombre de grands projets et en rallongeant leur durée, et en ponctuant ces grands projets par des rendez-vous festifs et conviviaux.

- Favoriser la co-construction programmatique avec les artistes et penser de nouvelles modalités de diffusion de la création artistique pour respecter un temps long.