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Documents  AGAM - Agence d'urbanisme de l'agglomération marsiellaise | enregistrements trouvés : 5

     

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Avec une croissance historique de leur nombre en France ces trois dernières années, les « tiers-lieux » s’affirment comme des objets urbains à part entière. Comment expliquer le succès de ces sites, hybrides et ouverts, qui s’étendent aujourd’hui bien au-delà des grandes villes ? La complexité et l’urgence des réponses à apporter aux mutations sociales, technologiques et climatiques nécessitent des approches transversales et des compétences croisées. Espaces matériels ou immatériels de coopération, leur gouvernance partagée entre citoyens, acteurs locaux et collectivités suit un objectif commun : celui de faire société, à petite échelle.

Par leur capacité à réunir des publics de tout horizon et des compétences nouvelles, mais aussi à produire des solutions locales et « sur mesure » d’insertion, d’aménagement, de formation… les tiers-lieux semblent devenir des espaces d’expérimentation et de transition indispensables aux territoires. L’objectif de cette première publication du Lab’ de l’Agam sur les tiers-lieux est à la fois de définir leur place dans l’espace urbain et de proposer une première approche de leurs impacts.
Avec une croissance historique de leur nombre en France ces trois dernières années, les « tiers-lieux » s’affirment comme des objets urbains à part entière. Comment expliquer le succès de ces sites, hybrides et ouverts, qui s’étendent aujourd’hui bien au-delà des grandes villes ? La complexité et l’urgence des réponses à apporter aux mutations sociales, technologiques et climatiques nécessitent des approches transversales et des compétences ...

#Tiers-lieux (en région)

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Si la crise sanitaire est venue accentuer l’usage des outils numériques dans nos quotidiens, modifiant ainsi nos façons de travailler et de consommer, elle a également offert aux résidents des villes, une nouvelle manière de percevoir la proximité. Le champ de la proximité reste aujourd’hui un concept à s’approprier, recouvrant souvent de multiples facettes, et usant d’un vocable tout aussi divers: ville du quart d’heure, ville intense, ville des proximités, ville des courtes distances… Dans le même temps, de nouveaux lieux apparaissent portés par le mouvement tiers-lieux, et s’affirment progressivement dans une réponse aux besoins du quotidien. Entre numérique et nouveaux objets urbains, quelles mutations observe-t-on dans la proximité en ville ?
Si la crise sanitaire est venue accentuer l’usage des outils numériques dans nos quotidiens, modifiant ainsi nos façons de travailler et de consommer, elle a également offert aux résidents des villes, une nouvelle manière de percevoir la proximité. Le champ de la proximité reste aujourd’hui un concept à s’approprier, recouvrant souvent de multiples facettes, et usant d’un vocable tout aussi divers: ville du quart d’heure, ville intense, ville ...

#Tiers-lieux (en région)

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Un temps symptôme pictural de la désindustrialisation des villes, parfois associé à leur déclin, le graff – et dans son acception plus large, le street art – semble aujourd’hui s’affirmer comme le signal de leur renaissance économique et urbaine. Un renversement de symbole donc, qui illustre le chemin parcouru par cet art urbain, spontané et éphémère, souvent vandale, mais désormais prisé des galeristes comme de la commande publique. Et ce n’est pas étonnant que ce soit à Marseille, ville ayant connu l’ensemble de ces cycles, que le street art trouve un terrain d’expression à sa hauteur : rebelle, alternative et en profonde mutation, la ville est pour des générations de graffeurs le support d’expression et la source d’inspiration. Si les politiques urbaines commencent à identifier les bénéfices de cet art, reste à comprendre plus précisément les liens qui le lient si profondément à la ville contemporaine.
Un temps symptôme pictural de la désindustrialisation des villes, parfois associé à leur déclin, le graff – et dans son acception plus large, le street art – semble aujourd’hui s’affirmer comme le signal de leur renaissance économique et urbaine. Un renversement de symbole donc, qui illustre le chemin parcouru par cet art urbain, spontané et éphémère, souvent vandale, mais désormais prisé des galeristes comme de la commande publique. Et ce n’est ...

#Arts visuels (généralités)

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Marseille se développe dans un contexte de forte concurrence internationale. Dans ce paysage, Rotterdam, Anvers, Hambourg, Lyon, Bordeaux, Toulouse ou encore Nantes se caractérisent particulièrement par leur dynamisme économique. Quelle est leur recette ?
Parmi les facteurs explicatifs de leur réussite, la stimulation de la créativité des villes apparaît comme une nouvelle ressource. Théorisée par le géographe américain Richard Florida, la notion de ville créative considère que la clé de la prospérité urbaine est de rendre une agglomération attractive pour des classes dites créatives, génératrices de développement économique.
En s’appuyant sur le portrait de Marseille en matière de créativité comparé à une échelle européenne, ce Regards a pour objet d’identifier les atouts spécifiques de ce territoire et les leviers potentiels au sein du triptyque culture – urbanisme – économie.
Marseille se développe dans un contexte de forte concurrence internationale. Dans ce paysage, Rotterdam, Anvers, Hambourg, Lyon, Bordeaux, Toulouse ou encore Nantes se caractérisent particulièrement par leur dynamisme économique. Quelle est leur recette ?
Parmi les facteurs explicatifs de leur réussite, la stimulation de la créativité des villes apparaît comme une nouvelle ressource. Théorisée par le géographe américain Richard Florida, la ...

#Industries culturelles et créatives (Généralités)

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L’émergence d’une nouvelle génération de salariés dans la veine des «makers», plus urbaine, flexible, et issue de la révolution digitale, est à l’origine de nouveaux modes de travail incitant à repenser en profondeur les stratégies d’attractivité des territoires. Depuis une dizaine d’années, les principales métropoles de France et d’Europe ont commencé à intégrer dans leurs stratégies économiques la prise en compte de ces nouveaux besoins, sources d’opportunités et d’attractivité. Des tiers-lieux émergent de ces tendances tirant profit de la mutualisation et de l’expérimentation. Ils décloisonnent la conception traditionnelle du bureau d’entreprise. Principalement en centre-ville, ils constituent une véritable « nébuleuse connectée » qui valorisent les ressources spatiales et culturelles de la ville et pourraient être en mesure de lui redonner un élan économique, notamment dans les quartiers en perte de vitesse. Ils constituent, par ailleurs, de nouveaux produits tertiaires complémentaires aux gammes traditionnelles. Dans ce contexte, il semble qu’une meilleure compréhension des nouvelles offres (coworking, labs…) et leurs besoins urbains soit un préalable indispensable à la construction d’une stratégie des nouveaux lieux de l’innovation. Cette publication a pour objectif d’éclairer ces tendances nationales à l’échelle locale, notamment en donnant la parole à des acteurs de terrain.
L’émergence d’une nouvelle génération de salariés dans la veine des «makers», plus urbaine, flexible, et issue de la révolution digitale, est à l’origine de nouveaux modes de travail incitant à repenser en profondeur les stratégies d’attractivité des territoires. Depuis une dizaine d’années, les principales métropoles de France et d’Europe ont commencé à intégrer dans leurs stratégies économiques la prise en compte de ces nouveaux besoins, ...

#Tiers-lieux (en région)

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